Les hautes terres en Islande sont le paradis des randonneurs et des photographes. De par leur isolement et leur géologie, elles ne sont accessibles que quelques semaines par an, pendant l’été. Les balades sont nombreuses et si vous vous demandez quelles randonnées faire dans les hautes terres en Islande ? On vous répond dans cet article.

Pour ce troisième voyage ici, nous sommes partis à la découverte des hautes terres à travers 4 randonnées totalement différentes et absolument magiques. Dans ces territoires, plus qu’ailleurs, nous avons été confrontés au tellurisme*, au volcanisme et à la rudesse du climat. Au fil de nos pas, nous avons découvert des paysages sortis d’un autre monde. Des paysages que nous n’avions encore jamais observés. Des paysages bruts, sauvages à la fois chaleureux et inhospitaliers qui nous ont littéralement ébahis et envoûtés.

Je vous détaille 4 randonnées que nous avons faites dans les hautes terres, dans 4 territoires différents :

En vous parlant de notre retour d’expérience, en vous donnant des conseils et en vous partageant nos plus belles photos de ces balades inoubliables et ressourçantes, en totale connexion avec les éléments.

*Tellurisme : Influence ou magnétisme exercé par la Terre sur les organismes vivants.

paysage randonnée landmannalaugar

4 RANDONNÉES À FAIRE DANS LES HAUTES TERRES EN ISLANDE

1) RANDONNÉE DE BLÁHNÚKUR À LANDMANNALAUGAR : INFOS, CONSEILS ET RETOUR D’EXPÉRIENCE

Comment venir dans le Landmannalaugar ?

La région de landamannalaugar, bien que dans les hautes terres, est facile d’accès dès lors que les routes sont ouvertes. Pour vous rendre au point de départ de cette randonnée, vous avez 2 options : prendre la route 208 par le Nord, la façon la plus rapide d’y arriver. Ou alors, comme nous, via la piste 225 qui vous fera traverser les magnifiques paysages de la réserve naturelle de Fjallabak, en vous donnant l’impression d’être sur la lune. Cette piste est réputée pour être l’une des plus belles pistes d’Islande.

Les passages à gué de rivière

Il y en a 3 à traverser sur le chemin vers Bláhnúkur . Le premier se trouve à mi-chemin sur le parcours. Lors de notre venue (début juillet), il était assez important. Le deuxième se trouve peu de temps après le premier et pour nous, ce jour là, aucune difficulté particulière. Le troisième se trouve à l’arrivée. La plupart des visiteurs s’arrêtent sur le parking à la fin de la piste, mais, sachez que vous pouvez traverser le gué pour passer de l’autre côté. C’est d’ailleurs la seule possibilité pour rejoindre le début de la randonnée alors n’hésitez pas !

Bon à savoir : les gués sont généralement moins profonds le matin, mais susceptibles de gagner du niveau en cours de journée et ainsi d’être plus profonds le soir, au moment du retour. Obligatoire : vous devez avoir un 4×4 peut importe l’option choisie.

Conseils pour traverser les gués

Tips : une fois engagé, suivez bien les piquets et ne freinez pas. Tips 2 : si vous avez un doute, je vous conseille de vous y coller : retirez les chaussures, relevez le pantalon et traversez à pied. C’est la meilleure façon de jauger la profondeur. Tips 3 : ne faites pas comme moi, pensez à fermer la fenêtre.

La météo dans le Landmannalaugar

Le temps est changeant, mieux vaut choisir (quand c’est possible), une belle journée. Dans tous les cas, prenez de quoi vous couvrir et être au sec et n’hésitez pas à vous renseigner sur les conditions météo ici mais également au point info situé au niveau du camping de Landmannalaugar.

La randonnée de Bláhnúkur

Bláhnúkur signifie le pic bleu. Quand on regarde ce volcan, il se détache clairement de son environnement de par sa couleur verte-bleutée peu courante, mais pas seulement : il est imposant et face à lui, on se sent encore plus petit quand on sait qu’on s’apprête à le grimper !

carte de randonnée landmannalaugar blahnukur

Où commence la randonnée de Bláhnúkur ?

Elle commence au niveau du camping du Landmannalaugar où, bon nombre de randonneurs plantent leur tente. Elle débute fort et de manière assez raide. Étant une boucle, il est possible de la réaliser dans l’autre sens. Personnellement, étant à l’aise en montée et très peu en descente, j’ai préféré grimper Bláhnúkur plutôt que le descendre. Sachez donc que vous pouvez faire l’inverse ! 

Comment se passe la première partie de la randonnée ?

La randonnée n’est pas réputée être facile, il est clair que ça grimpe pas mal et qu’il faut une bonne condition physique et une bonne endurance. Cependant, j’ai tendance à penser qu’elle est faisable, même pour les moins sportifs. Il suffit de prendre son temps et de progresser à son rythme, en faisant des pauses régulièrement. En tout cas, l’effort vaut vraiment le coup ! Plus on progresse dans l’ascension, plus le paysage est époustouflant, inhabituel, complètement fou. D’un côté, à perte de vue, les montagnes de rhyolites encore à moitié enneigées et de l’autre, l’impressionnant champ de lave de Laugahraun (1480) avec, en arrière plan un lac bleu, comme figé… La nature immense, brute, dans toute sa splendeur. Encore aujourd’hui, je n’ai pas les mots pour vous décrire ce lieu qui fait ressortir un paquet de belles émotions.

Le chemin du retour est-il plus facile ?

Après l’ascension du Pic Bleu, une fois arrivé au sommet du volcan, le chemin ne fait quasiment que descendre. Il offre une très belle variété de paysages puisque nous avons, à plusieurs reprises, traversé des parties encore enneigées, puis, nous avons dû retirer nos chaussures pour traverser un morceau de rivière glaciale à -3 degrés. Sur la fin, nous nous sommes engagés à travers un champ de lave qui nous a mené devant une solfatare et ses odeurs qui lui sont propres. La dernière partie de la randonnée est facile, elle traverse le champ de lave et offre une vue sur la belle montagne de Bláhnúkur. Cela nous fait prendre conscience du bout de chemin parcouru et c’est plutôt cool !

Il existe d’autres randonnées à faire à Landamannalaugar, à vous de voir si vous souhaitez consacrer plus de temps sur place ! Pour nous, c’était un repérage, on y reviendra !

2) RANDONNÉE HVERADALIR À KERLINGARFJÖLL : INFOS, CONSEILS ET RETOUR D’EXPÉRIENCE

La région de Kerlingarfjöll isolée dans les hautes terres du centre de l’Islande est, elle aussi, une terre propice à la randonnée. La randonnée de Hveradalir, celle que nous avons décidé de faire, est certainement la plus prisée de toutes. Elle nous a mené tout droit vers un nouveau monde, encore un, en traversant une nature toujours aussi belle et étonnante.

Comment venir à Hveradalir ?

Il faut prendre la piste 35 pendant 1h environ, avant d’arriver à un carrefour où il faut bifurquer en prenant la route 347 direction les Kerlingarfjöll qui se trouvent à 10 km de ce même carrefour. Cette piste est rocailleuse, poussiéreuse et complètement inhospitalière malgré les paysages magnifiques qui se succèdent. À l’approche du parking, vous tomberez, sur vote gauche, sur une jolie cascade dont l’’eau dérive dans un joli canyon. Peu de temps après la cascade, garez-vous au niveau des chalets rouges, sur le parking de l’hôtel Kerlingarfjöll Mountain Resort. De là, descendez vers l’hôtel et traversez la rivière en prenant la petite passerelle. Vous n’avez plus qu’à suivre le balisage clairement indiqué. 

Faut-il absolument faire la randonnée pour accéder au site ?

Non ! Si vous ne voulez pas marcher, depuis l’hôtel mentionné ci-dessus, vous devrez continuer en voiture sur la piste 347 sur 5,5 km environ. Vous atteindrez le parking du site. De là, vous pourrez en faire le tour sans trop d’efforts (bien que ça grimpe par endroit). Je ne vous encourage pas à choisir cette option, car la randonnée est vraiment belle et être en pleine nature, c’est tellement plus sympa ! 

La randonnée jusqu’au site géothermique de Hveradalir

Hveradalir se trouve dans la région des monts Kerlingarfjöll, qui signifient “Les montagnes de la bonne femme”. Avec son intense activité hydrothermale, disséminée au milieu de petites langues glaciaires et de neiges éternelles, la randonnée qui mène au site géothermique* et le site en lui-même, sont exceptionnels. Une fois encore, nous en avons pris plein les yeux. Ce fut une belle journée qui s’est terminée sous un ciel bleu magnifique, faisant ressortir toute la beauté des couleurs rhyolitiques des montagnes, tout autour de nous. 

*Géothermie : exploitation des stocks de chaleur contenu dans l’écorce terrestre. Avec l’activité volcanique intense, elle est importante et majoritaire en Islande.

randonnée hveradalir en islande

Cette randonnée n’est pas extrêmement difficile, mais elle monte quasi continuellement et, à la période à laquelle nous y étions (fin juin), il y avait encore de la neige à traverser par endroit dont certaines portions assez glissantes. Il faut une bonne condition physique pour réaliser cette randonnée et avoir un minimum d’endurance musculaire. Même si ce n’est pas votre cas, elle est faisable, mais vous prendra plus de temps, tout simplement. Prenez des bâtons de rando, ça aide drôlement ! 

3) RANDONNÉE THE RED TRAIL DANS LA RÉGION DE HVERAVELLIR

La randonnée « the Red trail » qui mène au volcan Strýtur est la première rando de notre séjour. Un sentier facile avec de beaux paysages et un magnifique cratère à l’arrivée. 

Comment venir à Hveravellir ?

Via la piste F35 qui traverse elle aussi des paysages inhospitaliers, sans âme qui vive. 4×4 obligatoire !

Où commence la randonnée the Red trail ?

Elle démarre au niveau du site géothermique de Hveravellir, que vous ne devez manquer sous aucun prétexte. On y découvre de petites merveilles naturelles très curieuses dont un dôme de geysérite formé par des gouttes d’eau chargée en silice*… C’est unique en Islande.

Silice * : la forme naturelle du dioxyde de silicium. Le quartz, par exemple, c’est du silice.

La randonnée the Red trail

carte rando hveravellir islande

Vous trouverez, à proximité du site géothermique, le balisage du début du sentier. La randonnée ne présente pas de difficulté si ce n’est qu’elle est un peu longue. Le terrain est facile, on traverse des champs de lave entourés de montagnes. Certaines parties sont enneigées et on s’enfonce facilement, mais rien de bien méchant. D’autres portions sont assez pénibles, car rocheuses et inégales, mais elles restent très faciles à passer. La dernière partie, celle pour arriver au sommet du volcan, est pentue mais courte. Au sommet, vous pourrez admirer le magnifique cratère Stýtur avec, en toile de fond des coulées de lave séchée à perte de vue, des montagnes enneigées, et même, le glacier Hofsjökull.

4) RANDONNÉES À FAIRE DANS LE LAKAGIGAR EN UNE JOURNÉE

Nous avons fait cette randonnée lors de notre premier voyage en Islande, en septembre 2021. Lorsque j’ai rédigé l’article de blog sur ce voyage et que j’ai retracé notre journée à Lakagigar, je me suis dit que ce lieu unique et lunaire mériterait son article pour lui tout seul. Puis, comme j’avais déjà bien avancé, j’ai laissé tomber l’idée, jusqu’à aujourd’hui… Au moment où j’écris ces lignes et ce lieu, se trouvant tant dans les hautes terres, j’ai décidé de faire migrer la journée au Lakagigar dans cet article !

L’histoire du Lakagigar

Il y a seulement 238 ans, la Terre s’est fissurée sur 27 km à travers une série d’explosions et a fait jaillir 115 cratères alignés. On les appelle les cratères du Laki. Pendant cette éruption qui a duré presque 1 an, 14 km3 de lave ont jailli sur 565 km² pour donner naissance à un paysage lunaire et apocalyptique, dont l’eldhraun. Des tonnes de dioxyde de souffre se sont répandues dans l’atmosphère en Islande tuant chevaux, moutons, et même une partie de la population touchée par la famine. Le nuage toxique a fini par arriver en Europe, il a déréglé le climat pendant plusieurs années et détruit une partie des récoltes. L’histoire raconte que l’éruption du Laki serait l’une des causes de la révolution française.

Comment aller à lakagigar ?

L’aventure commence sur la F206, une piste autorisée aux 4×4 uniquement. Elle vous fera traverser des paysages tous plus fous les uns que les autres avant de vous faire arriver au pied du volcan Laki. Vous aurez à traverser 3 gués en cours de route. Les deux premiers ne présentent pas de difficulté, mais le dernier est un peu plus profond d’où l’importance d’avoir un 4×4. La profondeur de ces grosses flaques dépend de la pluie, mais aussi de la fonte des glaces. Si les jours précédents ont été pluvieux ou si vous y allez au printemps ou en été, les flaques seront forcément plus profondes. Pour franchir le 3e gué, suivez la trajectoire des piquets plantés dans l’eau. Ils sont un bon indicateur pour se rendre compte du niveau de l’eau.

Conseils pour préparer votre venue à Lakagigar

Il est important de bien vous renseigner auprès des rangers avant de vous lancer sur la piste des cratères du Laki. En effet, la route F206 est réputée comme difficile et son accessibilité dépend des conditions météorologiques. En Islande on peut voir les 4 saisons en une journée voire même en une matinée, il ne faut donc pas prendre ce périple au Lakagigar à la légère.

La météo prévue pour votre journée au Laki est déterminante car vous vous engagez dans une zone peu fréquentée et sans couverture réseau. Je vous conseille de partir très tôt le matin, car la région est connue pour sa météo changeante. Mieux vaut passer les gués de bonne heure et veiller à ce que le niveau n’ait pas trop monté au retour. Je ne sais pas à quelle heure les rangers commencent leur journée, mais nous les avons rencontrés alors que nous venions de redescendre du volcan Laki.

Tips : N’hésitez pas à arrêter les voitures que vous croiserez en sens inverse afin de leur demander leur avis quant aux passages des gués.

La randonnée du volcan Laki

informations randonnées volcan Laki

Il y a 2 sentiers possibles, mais un seul d’entre eux était ouvert ce jour-là : le plus court, mais avec la pente la plus raide. Lorsqu’on est au pied de la montagne, on se dit que ça va être dur, mais finalement, la montée se gère bien. Au sommet, on découvre un paysage apocalyptique. On distingue la fracture du Lakagigar sur plus de 30 km et avec pas moins de 130 cratères. Autour, la nature hostile, chaotique et pourtant, d’une beauté… à couper le souffle. 

D’autres curiosités et promenades faciles à faire à Lakagigar

1) Le Visitor Trail : traversée d’un cratère

En bas du Laki, à seulement quelques mètres, se trouve un cratère que l’on peut traverser. C’est une petite promenade irréelle, au cœur d’une fissure éruptive. On a l’impression d’être au milieu d’un océan sans eau. 2 siècles après on peut toujours voir clairement la trace de la faille bien qu’elle soit rebouchée et que petit à petit la nature recouvre la lave.

Cette petite balade aménagée n’est pas difficile et se fait tranquillement en 30 minutes. On suit le sentier d’un bout à l’autre du cratère, dans un sens bien définit : de l’Ouest vers l’Est. Sauf que nous, involontairement, on l’a fait dans l’autre sens. Le chemin étant très étriqué, mieux vaut qu’il n’y ait pas grand monde si vous décidez de le faire dans le même sens que nous.

2) La piste F207

La F207 est une boucle de 30 km qui commence à proximité du Laki. Elle permet de faire le tour de la zone meurtrie par l’éruption et de découvrir une variété de paysages incroyables. À tel point qu’on a l’impression de traverser plusieurs planètes en une même journée. N’hésitez pas à vous arrêter sur la piste (sans en sortir pour ne pas écraser la nature et son écosystème) pour immortaliser les paysages.

3) Le lac du cratère de Tjarnargigur

Sur la route, vous tomberez sur une cabane de rangers. Garez-vous sur le parking attenant et empruntez le chemin, bien indiqué, qui vous mènera jusqu’au magnifique cratère de Tjarnargigur. Ce cratère est l’avant-dernier arrêt de cette fabuleuse journée au Lakagigar.

Nous reprenons la route F207 qui s’achève par la traversée d’un autre gué, plus profond que les précédents, mais nous l’avons passé sans encombre. Soyez tout de même vigilants, car il peut parfois être infranchissable. La boucle se termine et nous rejoignons la piste F206.

4) La cascade de Fagrifoss

Elle se trouve à une dizaine de kilomètres du début de la piste F206. Vous pouvez vous y arrêter à l’aller ou au retour. Gardez l’œil ouvert, car elle est très mal indiquée. Elle se trouve au niveau d’une bifurcation au bout de laquelle se trouve le parking où vous pouvez vous garer pour ensuite passer le portillon est enfin, arriver à la cascade. 

LES HAUTES TERRES D’ISLANDE : CARNET PRATIQUE

carte d'Islande

Quand aller dans les hautes terres en Islande ?

Pendant l’été, quand la neige à fondu. Les routes rouvrent aux alentours du 15 juin et ferment aux alentours du 15 septembre. Ce n’est pas une science exacte, elles peuvent ouvrir un peu plus tôt ou alors, beaucoup plus tard. Vérifiez les informations en temps réel sur le site road.is.

Quelle voiture louer pour aller dans les hautes terres ?

La location d’un 4×4 est recommandée, bien que pas obligatoire pendant l’été sur certaines off road. Nous avons loué le notre chez Blue Car Rental.

Le solstice d’été :

Entre juin et mi-juillet, le soleil ne se couche jamais. Il descend, passe la ligne d’horizon et remonte tout de suite.

La météo

L’Islande est humide et venteuse. Il n’est pas rare de vivre les 4 saisons en une journée. Elle est un facteur à prendre au sérieux, partout sur l’île. Le site local à toujours les bonnes prévisions et informations.

Quels vêtements prendre dans la valise ?

Il faut de tout, pour affronter toutes les saisons. Manteau chaud et imperméable, bonnet, gants et pulls obligatoires.

Retour d’expérience : nous avons eu beau temps et nous sommes même retrouvés en t-shirt à Landmannalaugar. En revanche, malgré un petit soleil, froid et vent au rdv, pendant tout le séjour. Ma tenue type : legging de sport, chaussures de randonnées, gros manteau et bonnet, sans oublier les bâtons de rando !

Où manger dans hautes terres ?

Après trois séjours en Islande, le plus économique reste d’apporter vos sachets de riz et de quinoa dans vos valises et de compléter votre repas avec quelques légumes frais achetés dans un supermarché type Bonus. Pour vos randonnées, vous devrez préparer votre pique-nique !


J’espère que vous avez apprécié cet article créé, comme toujours, avec amour et passion et plus encore quand il s’agit de l’Islande. J’espère aussi que vous refermerez cette page en sachant quelles randonnées vous ferez lors de votre voyage. Nous concernant, nous prévoyons d’y revenir. Les hautes terres sont magiques, elles dégagent une énergie spéciale et nous plongent littéralement dans un rêve. Seul l’effort physique qu’elles demandent arrive à nous ramener sur Terre.

N’hésitez pas à nous dire en commentaire quelles randonnées vous ont tenté et venez découvrir nos autres articles sur l’Islande !

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IMG_1139   Alisson

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